Les émotions c’est la vie. Elles nous font vibrer, rire aux éclats, pleurer pour effacer notre peine, hausser le ton pour dire qu’on existe. En même temps, il nous arrive (trop)souvent d’être envahi.e, troublé.e, par des émotions dont nous nous demandons l’origine ou bien qui semblent démesurées par rapport à ce que nous vivons.
Une émotion, suivant le petit Larousse c’est un trouble subit, une agitation passagère causés par un sentiment vif de peur, de surprise, de joie, etc.
C’est la façon dont notre corps s’adapte à son environnement. C’est une réaction physiologique à une sollicitation spécifique.
Les émotions ne sont ni négatives ni positives, elles sont. Elles sont agréables ou désagréables. Elles ont contagieuses. Elles sont éphémères. Elles ont trois parties : Charge (mon corps s’adapte), Tension (mon corps est adapté), Décharge (retour à la normale).
Ce qui nous pose problème, la plupart du temps ce sont les émotions parasites. Dans une émotion vraie nous avons de la puissance, dans une colère vraie nous sommes centrés. Dans une colère parasite nous sommes hors de nous. 90 à 95 % de nos émotions sont des émotions parasites.
Alors c’est quoi les émotions parasites. Ce sont des émotions issues du passé. A un moment donné de notre vie nous avons vécu une émotion et les circonstances ne nous ont pas permis de revenir à la normale en ayant nos besoins satisfaits. Le cerveau en a gardé trace et chaque fois que quelque chose lui rappelle cette émotion, il y retourne directement. Nous voici en colère comme un enfant avec nos capacités d’enfant et le retour à la normale est difficile, semble parfois impossible et notre réaction est disproportionnée.
Alors que faire ?
Reconnaitre ses vraies émotions et ses émotions parasites. Accueillir les premières et effectuer un travail sur soi pour les secondes. Je vous propose ce travail, une séance suffit pour une émotion donnée.
Après ce travail sur soi, la conscience émotionnelle augmente, on est plus subtil pour agir et parler en présence de nos émotions. On devient plus à même de distinguer ses émotions et celles d’autres, qui peuvent nous envahir aussi.
On apprend aussi les clés pour retourner à la normale plus vite quand une émotion est là et que ce n’est pas adapté au contexte dans lequel on se trouve. Par exemple je viens d’apprendre une bonne nouvelle quand autour de moi les gens sont dans la tristesse, il est parfois mieux d’avoir une joie contenue.
Ce sujet vous touche, contactez-moi, je vous accompagnerai sur ce chemin d’apaisement et de sérénité.
